L'intrigue est visible ici. Bientôt les scénarios libres seront ouverts. Patience. nous rappelons que le flood et la chatbox sont ouverts à tous, n'hésitez plus.
▪ vous êtes : élève. ▪ parchemins : 4 ▪ pseudo : purple rain ' lisa ▪ célébrité : antonia thomas ▪ crédits : calvaries ▪ patronus : phoenix ▪ baguette : 26,5 centimètres, bois de cerisier, plume de phœnix ▪ année/métier : septième
Sujet: ❝ SUIVRE LE SILENCE PAS A PAS ❞ Mar 27 Sep - 9:35
Mona Greenwood
poste vacant scénario inventé
NOM ▲ La famille Greenwood fait partie de celles qui ont toujours été connues pour être fidèle au Seigneur des Ténèbres depuis le commencement. PRÉNOMS ▲ Mona, un prénom à consonance latine qui signifie vœux, désire ou encore solitaire. Des mots et adjectifs qui, étonnamment, lui correspondent plutôt bien. AGE ▲ Dix sept années. STATUT ▲ Comme un bon nombre d'entre nous, avant même sa naissance elle était destinée à faire partie des rangs du Seigneur des Ténèbres. Descendant d'une lignée de sorciers au sang pure, tous de Serpentard avec des idées conservatrices et un père lui-même Mangemort, il ne pouvait en être autrement. Mona fait donc partie des followers mais ne semble pas avoir réellement conscience de ce qui se passe autour d'elle. Aveuglée par la haine envers la Résistance et sa vengeance personnelle qu'elle souhaite assouvir, elle occulte le reste pour se concentrer sur son objectif. Le règne de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom lui permet de se rapprocher du but. SANG ▲ Il y a quelques années, la mère de Mona eut une aventure avec un moldu et de cette union est née une petite fille. Onze ans plus tard, Artémis Greenwood entretenait toujours une liaison avec le même homme jusqu'à ce que son mari le découvre. Ce dernier, ivre de fureur, la tua mais ne su jamais la vérité sur sa fille dont il pense être le père biologique. Son sang est donc impurs mais tout le monde l'ignore. Elle la première.
Née un quinze octobre, âgée de dix sept ans, Mona a longtemps bataillé avec son père pour qu'il accepte de la laisser utiliser la baguette de sa défunte mère. Mona n'a jamais su pourquoi il s'y opposait aussi violemment mais n'a jamais abandonné cette idée, d'autant plus qu'elle lui convient parfaitement. 26,5 centimètres, bois de cerisier, plume de phœnix, flexible et rapide. Face à l'obstination de sa fille il ne fait aujourd'hui que lui lancer des remarques acerbes dès qu'il en a l'occasion. Le plumage d'un bleu et or flamboyant, l'animal de son patronus est un phœnix. Ce dernier qui renaît de ses cendres est le symbole des cycles de mort et de résurrection. Quand on y pense, cela paraît logique puisque Mona est obsédée par la mort qu'elle souhaite rencontrer le plus tard possible. C'est une entité qui la fascine autant qu'elle la terrifie. (+ famille, épouvantard)
Dans cette partie, vous nous ferez part du caractère de votre personnage. Quel que soit la méthode que vous utiliserez (nous vous laissons le choix) le caractère doit laisser transparaître la personnalité de l'individu. Essayez au maximum de détailler, et évitez les personnages tous blancs ou tous noirs.
TICKNESSE EST-IL UN BON CHOIX EN TANT QUE PREMIER MINISTRE? Ҩ écrire ici. ET VOUS-SAVEZ-QUI? Ҩ écrire ici. ROGUE A LA PLACE DE DUMBLEDORE, CELA T'INSPIRE QUOI? Ҩ écrire ici. A TON AVIS, QU'EST DEVENU POTTER ? A T-IL FUIT COMME UN LÂCHE OU AU CONTRAIRE TENTE-IL DE VOUS SAUVER DE VOLDEMORT ? Ҩ écrire ici. SINON A POUDLARD, ÇA SE PASSE COMMENT POUR TOI? Ҩ écrire ici. (uniquement pour les élèves et le personnel de poudlard) EN DEHORS DE POUDLARD, C'EST COMMENT? Ҩ écrire ici. (uniquement pour ceux qui sont à l'extérieur comme en fuite ou qui vivent à londres) EN QUEL LIEU TE SENS-TU LE PLUS EN SÉCURITÉ? Ҩ écrire ici. CROIS-TU LA GAZETTE DU SORCIER? Ҩ écrire ici. SERAIS-TU PRÊT A AIDER UN FUGITIF? Ҩ écrire ici. ET POUR FINIR, JUSQU'OÙ IRAIS-TU POUR DÉFENDRE LA CAUSE QUI TE SEMBLE LA PLUS JUSTE? Ҩ écrire ici.
Ҩ non-magical folk »
PSEUDO ▲ Purple rain PRÉNOM ▲ Lisa AGE ▲ 21 ans AVIS SUR LE FORUM ▲ Depuis le temps que j'attendais un tel forum, je me suis jetée dessus quand je l'ai découvert ! AVATAR ▲ Antonia Thomas CREDIT ▲ TUMBLR bannière : BOURBONS, MISFITSCAPS, SCINTILLATES, SHAVIGH, KPRESCOTT.
Dernière édition par Mona Greenwood le Mer 28 Sep - 8:21, édité 6 fois
Ϟ Mona Greenwood
NEW COMERthe game starts.
▪ vous êtes : élève. ▪ parchemins : 4 ▪ pseudo : purple rain ' lisa ▪ célébrité : antonia thomas ▪ crédits : calvaries ▪ patronus : phoenix ▪ baguette : 26,5 centimètres, bois de cerisier, plume de phœnix ▪ année/métier : septième
Sujet: Re: ❝ SUIVRE LE SILENCE PAS A PAS ❞ Mar 27 Sep - 9:35
I LIKE BEING A WIZARD
. Comment s'écrit nos futurs
Je m’éveillais doucement d’un songe et me glissais dans une douce torpeur, cet état même qui n’est autre que la limite entre sommeil et réveil. Je n’avais pas encore ouvert les yeux et je commençais tout juste à comprendre que les bruits que j’entendais ne provenaient pas de mon rêve mais bel et bien de la réalité. Je fronçais les sourcils en sentant la fatigue qui pesait lourdement, je ne voulais pas me lever, cela ne pouvait être déjà l’heure, impossible. C’est seulement quand cette pensée prit tout son sens que je comprenais que quelque chose n'allait pas, alors j’ouvris les yeux. Mon regard se perdit dans la pièce plongée dans l’obscurité avant de rencontrer un rai de lumière qui filtrait en dessous de la porte. Il devait être dans les deux heures du matin, heure à laquelle tout le monde était normalement couché. Cette fois j’entendis des voix masculines, celle de mon père dont je reconnu l’intonation et une autre qui m’étais inconnue. J’avais onze ans à l’époque et ma curiosité fut plus forte que les promesses émises par mon lit et ses draps agréablement chauds. J’ouvris donc la porte sans bruit et me dirigea sur la pointe des pieds vers le salon, car me semblait-il, les bruits provenaient de cette pièce. Dans le long couloir qui menait vers elle, je pouvais enfin comprendre la conversation que s’y tenait. Tandis que mon père marmonnait sans cesse des « Je sais bien. », l’homme également présent lui reprochait son impulsivité et son manque de rigueur. « Nous ne connaissons pas son identité et nous ne pourrons le punir comme il se doit car vous n’avez pas été capable de vous contenir ! » Aussi loin que je m’en souvienne, il est vrai que mon père n’a jamais fait preuve de beaucoup de patience, à part peut être envers moi. Quoiqu’il en soit ce devait être la goutte qui fit déborder le verre puisque qu’un « Silencio ! » fut soudain lancé coupant court à l’échange. J’arrivais au même moment et croisais pour la première fois le regard bleu et luisant de colère de l’homme ensorcelé. « Papa ? » Mal à l’aise et apeurée je me tournais vers lui cherchant la protection et le réconfort de l’homme que j’aimais le plus au monde. Ce dernier s’empressa de me prendre dans ses bras tout en me reprochant d’avoir quitté mon lit à une heure aussi tardive mais je ne l’écoutais pas car je venais d’apercevoir des pieds dépassant de derrière le canapé. Je ne vis pas le reste du corps allongé à même le sol mais je ne m’y pas longtemps à reconnaître la robe de chambre de ma mère. Je me mis à gigoter dans tous les sens, j’étais inquiète, je voulais être près d’elle à tout prix. « Papa qu’est ce qu’il se passe, maman est malade ? » Il ne me répondit pas et s’élança dans le couloir en ignorant mes cris de protestation. J’en arrivais à lui labourer le torse de mes petits poings furieux et de coups de pieds ses jambes. Je ne savais pas ce qui se passait, je ne comprenais pas mais une boule venait de se former au creux de mon estomac et un étau comprimait mon cœur. Je ressentais pour la première fois de mon existence une vive angoisse et je n'avais pas les mots pour le décrire. Une fois dans ma chambre mon père ferma la porte derrière nous, me posa au sol et tomba à genoux. Du bout des doigts il me caressa la joue, enserra ma taille très fort, enfuit son visage dans ma chevelure dense et pleura. Devant pareil spectacle je me figeais, incapable de faire quoique se soit, aucun son ne franchissant la barrière de mes lèvres. Demandez à n’importe quel enfant et il vous donnera toujours la même réponse à savoir « Mon papa c’est le plus fort du monde ! » Alors comment réagir quand celui-ci s’effondre littéralement devant vous ? Je restais un moment stupéfaite, ne sachant quelle attitude adoptée. Finalement je craquais et les larmes commencèrent à couler. Quand mes jambes refusèrent de me porter plus longtemps, mon père me recueillit dans son giron et me berça. Nous sommes restés ainsi longtemps et encore aujourd’hui j’ignore pourquoi il me répétait sans cesse « Je suis désolé. » Ce fut la dernière fois que je pleurais devant lui.
. Who wants to live forever
On ne peut pas nier que dans la vie il y a indéniablement des moments qui changent pour toujours ce que tu es et ce que tu seras, laissant derrière toi ce que tu as été. Ils font partie de ces blessures qui ne disparaissent jamais totalement, ils laissent une cicatrice parfois peu voyante, mais cela ne change rien au fait qu’elle est présente. Et celles qui ne sont visibles que par soi même, car discrètes, sont les plus douloureuses. La mort de ma mère m’a affecté bien plus que je ne l’ai jamais montré à quiconque. Le soir de sa mort je me suis faite une promesse, celle de ne plus jamais verser de larmes, de ne plus paraître faible, surtout devant les personnes que j’aime. Quelque part je pense que mon père a décidé la même chose, bien que de son côté cette résolution prend plutôt la forme d’une règle à ne violer sous aucun prétexte. Je ne l’ai plus revu pleurer, ni se briser. Outre cet évènement, il restait l’homme que j’avais toujours connu ; fière, fort, puissant et protecteur. Mon père était un exemple, la seule personne que j’aimais d’un amour véritable et sincère… Car depuis ce jour, je m’interdis de m’attacher à quelqu’un. Perdre un être qui vous est cher représente une trop grande souffrance. Alors en lâche, j’ai décidé d’arrêter, non mon cœur ne saignera plus. Mon entrée à Poudlard ne fut en rien magique et incroyable comme pour la plupart des élèves qui attendaient ce moment avec impatience et excitation. En fait, je n’ai pas beaucoup de souvenirs des premiers temps passés dans ce lieu. J’agissais et j’évoluais à la manière d’une automate. J’exécutais les gestes quotidiens par habitude et nécessité, je ne parlais que quand il le fallait évitant toute conversation superflue et m’isolais volontairement des autres. La petite fille joyeuse était devenue l’enfant étrange de l’école qui ne souriait jamais. On ne savait de moi que le nom et les rumeurs qui circulaient. Ainsi, on savait de qui j’étais la fille et le moins que l’on puisse dire c’est que la renommé, la fortune et le mystère qui plane autour de vous en attire plus d’un. Plusieurs personnes ont donc essayé de se rapprocher, d’en savoir plus mais se sont très vite lassés de mon mutisme et de mon indifférence. Peu à peu je suis devenue invisible aux yeux de tous et cela ne me dérangeait pas, bien au contraire je me confortais dans ma solitude, ne ressentant pas l’envie de me lier. De mon point de vue, les gens étaient ternes et aucun ne semblait digne d’intérêt. Du moins c’est ce que je croyais. Cependant, une après-midi, une personne vint encore une fois tout bouleverser et marquer le cours de ma vie. Je ne sais pas très bien comment cela est arrivée, comment ce garçon d’à peine dix ans à réussi à m’approcher et à me toucher. Il a réussi facilement et simplement à briser mes défenses, il a su voir au-delà de la barrière, me comprendre, choisir les bons mots. A ce garçon que je connaissais à peine, je me suis livrée, entièrement. Tout au fond de la bibliothèque, entre deux rayonnages, à l’abri d’oreilles indiscrètes et de regards curieux j’ai pleuré. Ma peine, ma colère et mon impuissance que j’avais gardées enfuit jusque là m’ont submergés. Les mots coulaient à flot de ma bouche sans que je puisse m’arrêter et alors je réalisé que cela faisait du bien. J’avais absolument besoin de me confier, de crier ce que je ressentais et je n'en avais même pas eu conscience. Lorsque j’eus finis, que je ne trouvais plus rien à ajouter je me rendis compte que je tremblais entre ses bras et sous ses caresses. Brusquement ramenée à la réalité, je ne bougeais cependant pas, profitant de cet instant où je pouvais m’évader loin de ce monde, en sécurité dans son étreinte rassurante.
. She says don't let go
Son regard électrique, lourd de colère et d’incompréhension croisa douloureusement le mien. Je baissais subitement les yeux, incapable de le soutenir, de l’affronter. C’était dur, plus dur que je ne l’avais imaginé. Renoncer à lui, à sa présence et à son amitié m’était insupportable et je ne comprenais pas pourquoi. Un début de réponse m’avait bien effleuré l’esprit mais je refusais catégoriquement de le reconnaître ou même d’y penser de peur qu’elle devienne réalité. « Regarde-moi. Mona regarde moi bon sang ! » Non je ne pouvais pas. Laisse moi, éloigne toi de moi, oublie que j’existe. C’est ce que j’aurais voulu lui dire, lui crier pour qu’il arrête mais aucun son n’était assez puissant pour franchir la barrière de mes lèvres. Tout un tas de sentiments contradictoires tournoyaient en moi sans que je puisse faire quoi que se soit pour stopper leur course. Je ne savais plus que penser ou ressentir, j’avais perdu pied, je me noyais et je cherchais désespérément une bouée de sauvetage pour me sortir la tête de l’eau. « Tu m’évites depuis que ton père est venu te voir, il s’est passé quelque chose ? » Oui, c’est ça, je m’en souviens maintenant. Des années de mensonges, une trahison, le cœur à vif, des larmes à nouveau. Je me figeais, j’arrêtais de me débattre et je lui fis face. D’abord surpris par ce soudain changement d’attitude il ne réagit pas puis finit par lâcher doucement mes bras qu’il tenait fermement jusqu’alors. « Tes parents faisaient partis de la Résistance. » A peine un murmure et pourtant si douloureux. « TES PARENTS FAISAIENT PARTIS DE LA RÉSISTANCE ! » Il ne disait rien, me dévisageait. Il ouvrit la bouche à plusieurs reprises mais cette fois-ci c’était lui qui ne trouvait pas les mots. Je perdis le contrôle et me mit à le repousser violemment, encore et encore, jusqu’à ce qu’il soit dos au mur. Mais cela ne suffisait pas, il m’en fallait plus, alors je ruais son torse de coups. « Mona arrête ! » Il m’empoigna à nouveau et inversa la situation. A présent j’étais plaquée contre le mur incapable de bouger entre ses bras. « Je ne t’ai rien dit car je savais ce qui allait se passer, je… » « TU M’AS MENTIT DURANT TOUT CE TEMPS ! » « JE NE SUIS PAS MES PARENTS MONA ! Tu connais ma position à l’heure actuelle, je ne t’ai jamais caché mes opinions malgré qui tu es et ce que tu es. » « Et qu’est ce que je suis ? » « Ton père est un Mangemort. Vous êtes tous au service de la personne responsable de la mort de mes parents et de tous ces pauvres gens ! » Seuls nos souffles irréguliers perçaient le silence qui s’était installé. Il secoua la tête et prit appuie sur le mur en posant ses mains de chaque côté de mon visage. Des plis s’étaient formé sur son front, ils apparaissaient à chaque fois qu’il était soucieux ou qu’il réfléchissait, je les connaissais par cœur pour les avoir parcourut du bout des doigts de nombreuses fois. « Tu crois réellement que la Résistance est meilleure ? Après ce qu’elle a fait à ma mère ? » « Tu es sûre ? » « Quoi ? » « Mona tu es certaine de sa culpabilité ? » Interloquée je le regardais la bouche entrouverte, incertaine de ce que je venais d'entendre et incapable de savoir si je voulais comprendre ce qu'il venait de dire. Comment pouvait-il ? Après tout ce temps, nos discutions... « Je ne te reconnais plus. » « Pourtant je suis toujours le même » Je ne sais pas ce qu'il m'a prit à ce moment là mais je ne pu refouler un rire inexplicable qui me coupa le souffle. Je posais une main apaisante sur mon ventre qui se tordait de douleur face à cet assaut impromptu d'hilarité. « Tu n'es qu'un idiot. » « Mona... » Je m'écartais rapidement pour l'empêcher de poser sa main sur ma joue, je ne voulais plus jamais qu'il me touche. Jamais. « Ne t'approche plus de moi. » Puis je tournais les talons et m'enfuis en courant, ignorant ses appels qui se répercutaient entre les murs de Poudlard. « Evanesco. » C'était l'année de nos seize ans et je disparue aux yeux de tous, cherchant une fois de plus refuge dans la solitude.
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J’observais le parc à travers l’une des nombreuses fenêtres de la tour Est de Poudlard. Le front posé sur la vitre glacée, j’attendais calmement que la lourde porte en bois daigne enfin s’ouvrir. J’évitais de faire les cent pas comme quelques personnes qui se trouvaient avec moi dans le couloir et m’entêtais à essayer de distinguer les silhouettes masquée par le brouillard. Bien que l’on avait sans doute découvert un groupe d’élèves faisant partis de la Résistance, nous n’avions pas eu le droit d’assister aux interrogatoires. Je soupirais et croiser les bras sur ma poitrine pour ne pas tordre mes mains dans tous les sens. Le temps commençait à se faire long même pour une personne telle que moi faisant preuve de beaucoup de patience. Quand la porte grinçât sur ses gonds, les élèves présents se regroupèrent formant une ligne parfaite et attendirent que le professeur vienne à eux. Pour ma part je restais à l’écart, peu désireuse de les rejoindre, et m’appuyais nonchalamment sur le mur observant les sept Gryffondor et Serdaigle sortirent un à un du bureau le visage fermé. Mon regard croisa alors le sien et je ne pu empêcher mon souffle de se couper durant quelques secondes. Que cela me plaisait ou non à chaque fois c’était la même chose et ce, depuis de nombreuses années maintenant. Il n’était plus le même que celui que j’avais connu à l’époque. Il semblait vide mais s’animait dès l’instant où il se posait sur une autre personne. Je me mordis la lèvre inférieure, en colère contre moi-même, en colère contre les sentiments qui se manifestait quand je le croisais dans les couloirs ou quand j’avais découvert sa présence dans ce bureau. Je me tournais vers le professeur qui rendait son verdict. A la grande déception de tous et faute de preuve, les suspects ne subiront aucune sanction bien qu’à présent un œil vigilant sera gardé sur eux. Et moi ? Je m’interrogeais incapable de savoir si j’étais dans le même cas ou non. Il fallait bien l’avouer, dès qu’il s’agissait de lui je me retrouvais dans l’incapacité de réfléchir correctement. Je fis un pas en avant pour finalement m’élancer vers lui et le saisir par le bras, l’empêchant de s’éloigner, l’obligeant à me faire face. Sa peau était brulante sous mes doigts. « Tu n’es pas l’un d’eux n’est ce pas ? » Quelle réponse j'espérais au fond ? Je ne sais pas. Tout ce dont j'étais sûre, c'est que me retrouver si proche de lui me meurtrissait et me réjouissait en même temps. Il se dégagea brusquement de mon étreinte et s'avança si prêt que je sentis son souffle caresser ma joue. « Tu l'as dit toit même, je ne suis qu'un idiot. Alors dis-moi, comment un idiot pourrait être membre de la Résistance ? » Cela n'avait était qu'un murmure mais les ricanements qui s'élevèrent me confirmèrent que je n'avais pas était la seule à l'entendre. J'ouvris la bouche mais ne trouvais rien à dire. Il me regarda encore quelques instants puis s'éloigna et partit après m'avoir lancé un désinvolte « Au revoir Mona.» Quand le couloir fut complètement désert je me laissé glisser au sol et restais là, à fixer le mur jusqu'à la nuit tombée. S'il vous plaît quelqu'un pourrait-il me dire si la douleur s'estompera un jour ?
Dernière édition par Mona Greenwood le Mer 28 Sep - 8:17, édité 4 fois
Sujet: Re: ❝ SUIVRE LE SILENCE PAS A PAS ❞ Mar 27 Sep - 9:46
Bienvenue sur CA ** et j'ai peut-être une préférence pour Crystal Reed aussi ♥
Ϟ Tiago VanOllen
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▪ vous êtes : élève. ▪ parchemins : 41 ▪ pseudo : Zec ▪ célébrité : Ash Stymest ▪ crédits : (c) Sde ▪ citation : C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. Les détails sont toujours vulgaires...Il existe des péchés dont le souvenir, plus que l'accomplissement, fait le charme ; d'étranges triomphes qui flattent l'orgueil plus encore que la passion... ▪ patronus : Un singe Capucin ▪ baguette : Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm ▪ année/métier : 7e année
Sujet: Re: ❝ SUIVRE LE SILENCE PAS A PAS ❞ Mar 27 Sep - 9:54
Mais je trouve Thomas plus singulière perso Welcome!
Ϟ Mona Greenwood
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Sujet: Re: ❝ SUIVRE LE SILENCE PAS A PAS ❞ Mar 27 Sep - 9:58
Merci à vous deux. Arf je ne sais pas, en plus si je prend Antonia je comptais demander Iwan en scénario xd Mon amour pour Misfit est en train de refaire surface ces derniers temps...
Ϟ Tiago VanOllen
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▪ vous êtes : élève. ▪ parchemins : 41 ▪ pseudo : Zec ▪ célébrité : Ash Stymest ▪ crédits : (c) Sde ▪ citation : C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. Les détails sont toujours vulgaires...Il existe des péchés dont le souvenir, plus que l'accomplissement, fait le charme ; d'étranges triomphes qui flattent l'orgueil plus encore que la passion... ▪ patronus : Un singe Capucin ▪ baguette : Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm ▪ année/métier : 7e année
Sujet: Re: ❝ SUIVRE LE SILENCE PAS A PAS ❞ Mar 27 Sep - 12:55
Mwahhahahaha le revers du libre arbitre et de l'opportunité d'avoir le choix...Zbaf Toute manière dans les deux cas Tiago te saute dessus (si ça peut te rassurer...ZBAF) Oui je suis d'une aide indispensable pour aider à stopper ton choix n'est il pas ?
Dernière édition par Tiago VanOllen le Mer 28 Sep - 8:28, édité 1 fois