AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
BIENVENUE SUR COURTYARD APOCALYPSE smile
L'intrigue est visible ici. Bientôt les scénarios libres seront ouverts. Patience.
nous rappelons que le flood et la chatbox sont ouverts à tous, n'hésitez plus.
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez | 
 

 Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Tiago VanOllen
Ϟ Tiago VanOllen

NEW COMER the game starts.
▪ vous êtes : élève.
▪ parchemins : 41
▪ pseudo : Zec
▪ célébrité : Ash Stymest
▪ crédits : (c) Sde
▪ citation : C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. Les détails sont toujours vulgaires...Il existe des péchés dont le souvenir, plus que l'accomplissement, fait le charme ; d'étranges triomphes qui flattent l'orgueil plus encore que la passion...
▪ patronus : Un singe Capucin
▪ baguette : Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm
▪ année/métier : 7e année

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyDim 18 Sep - 15:06



Tiago VanOllen

« La personnalité ne s'affirme jamais plus qu'en ignorant tout carcan. Seuls les faibles mettent des années à s'affranchir d'une émotion. Celui qui est maître de soi peut étouffer un chagrin aussi aisément qu'inventer un plaisir. »

poste vacant scénario inventé
NOM Ϟ VanOllen. PRÉNOM Ϟ Tiago. ÂGE Ϟ 17 ans. STATUT Ϟ Follower. (Mais au fur et à mesure il pourra se montrer de plus en plus influencé par la résistance. Pour le moment trop à même d'être respecté en temps que sorcier de sang pur, il entretien cette image noble et répugne à nourrir une quelconque considération envers les sang de bourbe car cela ne fait que le renvoyer malgrè lui à sa véritable situation et au sang qui coule dans ses veines.) SANG Ϟ En vérité Mêlé, mais au yeux de la société Tiago est l'héritier d'une famille de sang pur. En effet tout le monde ignore qu'il n'est que le fruit d'un inceste entre cousin, et que donc son père biologique ne montrait aucune capacité à faire utilisation de la magie.

Doulz Seigneurs, Messires, Guerroies et gentes Dames vous me voyez ravi d'écorcher vos tympans avec le sang des âges qui coule dans mes veines... VanOllen, Tiago VanOllen. Me voila à arpenter depuis 18ans les contrées souveraines où vous errez pauvres hères. Mes terres natales Irlandaises m'ont façonné et me voilà désormais de ces dépossédés qui dérivent sur des sentes aux odeurs absentes, de lassitude en habitude, vos turpitudes me sont comme un bol d’opium et mon visage plein d’illuminations reflète d’autres émeraudes, d’autres rubis, trop bien cachés pour plaire, trop lumineux pour ne pas éblouir, trop malfaisant pour ne pas vous abandonner haletant. Et le cristal de vos jours sont à mes ongles de chair des trésors à m'approprier. L’horizon expire et clame ma vérité. Je suis le résultat d'une équation foireuse, ce que vous nommez inceste mais qui n'est me concernant qu'un abus de plaisir entre cousins. Conçu dans le chaos sentimental je n'aime que l'irruption et l'effondrement des choses, le feu qui les suscite et celui qui les dévore. La durée du monde et des choses m'exaspère ; leur naissance et leur évanouissement m'enchantent. C’est une bien belle chose que ce contentement, que cette absence de douleur, que ces jours supportables et assoupis, où ni la souffrance ni le plaisir n’osent crier, où tout chuchote et glisse sur la pointe des pieds. Où l'absence dévorante d'un être se mue en latence habile. Malheureusement, je suis ainsi fait que c’est précisément cette satisfaction que je supporte le moins; après une brève durée, elle me répugne et m’horripile inexplicablement, et je dois par désespoir me réfugier dans quelqu'autre climat si possible, par la voie des plaisirs, mais si nécessaire, par celle des douleurs. Je sens me brûler une soif sauvage de sensations violentes, une fureur contre cette existence neutre, plate, réglée et stérilisée, un désir forcené de saccager quelque chose, un grand magasin, ou une cathédrale, ou moi-même, de faire des sottises enragées, d’arracher leur perruque à quelques idoles respectées, de séduire une petite fille, ou de tordre le cou à un quelconque représentant. Car c’est cela que je hais, que je maudis et que j’abomine : cette béatitude, cette santé, ce confort, cet optimisme soigné, ce gras et prospère élevage du moyen, du médiocre et de l’ordinaire. Vivre sous la fascination du soleil virginal et du soleil décrépit ; sauter les pulsations du temps pour en saisir l'originelle et l'ultime... L’envers des choses vole en éclat sous ce règne que je propose. La chasse de ces frissons me séduit, enivré par la tristesse de vos yeux, je part vers ce passé futur, l’alcool de la nouvelle phase gît pour me faire oublier le silence des anguilles sous mon épidermes de roche. Le grimoire de ma langue vous déshabille. Chaque âme ne fait que grossir la tourbe anonyme dans laquelle mon quotidien rampe, de divertissement triviaux en turpitudes malingres. Je suis l'apôtre volontaire de mes frustrations et la décadence tumescente qui m'imprègne se gorge de mon instinct devenu impur sous la conscience. Hier est abandonné aux mémoires défaillantes de ceux qui ont trop espéré... je demeure en tant qu'être pulsionnel. J'évolue dans un environnement purement organique, grouillant, moite, dégueulasse. Une représentation primale du monde originel, de la survie et des nécessités alimentaires. Mes besoins les plus fondamentaux se trouvent reliés aux phénomènes les plus complexes de l'absence de volonté et des aléas momentanés et violent qu'elle induit. Entre néant et trop plein. Mon génie ne sert que ce qui vous dépasse.

Patronus ; Un singe capucin. C'est mignon certes, mais sous ses airs ingénus, cette créature se révèle des plus viles et impitoyable. Sans concession pour ses proies elles finissent irrémédiablement entre ses griffes de stratège. Baguette ; Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm. Epouvantard ; Son oncle Hellian qu'il sait toujours en vie...
" T'es plutôt charmante si tu veux mon avis. Laisse ces vieilles bigotes parler de bonne conscience, elle se rendront compte que ce qu'elle prête d'universel à cette notion ne l'est en rien . C'est ce qu'il m'a dit la première fois qu'on s'est rencontré à la bibliothèque.
Une voix douce et posée, un sourire mutin pour un regard limpide, autant d'invitations à l'abandon que franchement, j'y croyais pas. Tiago. Il n'a rien de l'homme fréquentable. Il est même tout le contraire, à ce que j'avais entendu. Malheur à ceux qui voulaient encore lui résister. Homme, Femme… C'était tout ce qu'il attendait de nous, sur tous les plans, qu'on lui résiste pour qu'il puisse s'amuser un peu. Je le savais, je le savais et pourtant, j'esquissais un sourire. Tiago avait la réputation d'être LE gamin cynique quoique rêveur, dragueur invétéré avec une forte propension pour le jeu. Il avait toujours été ainsi. Celui que l’on respecte car ses airs de je m’en foutisme suintent d’une culture générale conséquente. C'est le genre de mec surprenant, finalement, qui sait encaisser et s'adapter à toutes sortes de situations. Certes, il était orphelin, et si cela aurait pu en détruire plus d'un, il semble y puiser de la force et s'en satisfaire. Enfin, c'est ce qu'il m'a toujours dit. De toute façon, il n'a pas besoin de n'avoir personne sur le dos pour faire ce qu'il veut. Il est de ce type de personnes qui réussissent presque tout ce qu'elles entreprennent, qui apprennent seules et n'ont besoin des autres que pour leur essuyer le front une fois le travail accompli. Au début, j'ai cru qu'il prendrait ça comme un cadeau, qu'il trouverait ça cool. Mais finalement, il se lasse vite de tout. Même de ce qui pourrait le passionner, il ne cesse d'aller et venir entre diverses domaines artistiques. La seule chose qui attire de manière durable son attention sont les filles, les vieux bouquins…L’alcool parfois. Il se réfugie dans ce qu'il réussi le mieux pour éviter ses insomnies à la recherche de la perfection je crois. Tiago est un hédoniste, il ne dispose d'aucune limite ou bien il semble encore les chercher."
[Jenna Li 17 ans. A propos de sa rencontre avec Tiago.]

" VanOllen ? C'était mon meilleur pote en première année. Mais j'ai toujours su que c'était un enfoiré. Vous voyez, ce mec, son existence est une longue une succession de réussites inconditionnelles et le meilleur c'est qu'il s'en fiche. Pire ! Il se lasse super vite, comme si réussir l'ennuyait. Et quand il n'obtient pas ce qu'il désire, il en rajoute une belle couche. Il lui suffit d'un échec pour qu'il se relève et reparte plus haut. Si bien que du coup, on sait plus vraiment si c'était vraiment un échec à la base. S'il se casse la gueule dans les escaliers, je serais presque prêt à parier qu'il réussirait à tomber sur une jolie fille à grosse poitrine.... Il semble adorer qu'on lui résiste. Draguer les filles inaccessibles, c'est son passe-temps favoris. Sa vie se résumerait même à quatre simples mots. Drague. Femme. Lire. Dormir. Est-ce qu'il est déjà tombé amoureux ? Bah j'en sais trop rien, on a toujours préféré attirer les filles pour les jeter plutôt que tomber amoureux, trop compliqué, vous voyez ? C'est ça qui est cool avec lui. Il marche à l'instinct. Donc il n'aurait presque peur que de lui même. Il craint pas d'échouer. Même quand il sort une blague sexiste à une militante pour les droits de la femme. Ce type est déjanté."
[Irving N. 18 ans. Enfoiré notoire.]

" Il adore les paris, prendre des risque... c'est un joueur et il a ça dans le sang. Il n'hésitera que rarement face à un défi. Il suffira de lui dire qu'il n'est pas cap' de se balader à poil lors d’une rencontre de quidditch pour qu'il essaie de le faire. La plupart du temps, Tiago n'a pas besoin de nous pour repousser ses propres limites. Il va toujours plus loin et ne se pose jamais. C'est un hyperactif, parfois velléitaire. Tout entreprendre et ne rien terminer, comme une boulimie précoce de tout voir. C’est comme ça qu’il voit sa vie en général d'ailleurs. "
[Elton V. 19 ans. Rencontre d'un soir.]

" Quand j'ai connu Tiago, il était loin d'être celui que tout le monde me dépeignait. L'enfoiré de première classe, le dragueur sans envergure. En dépression, enfermé dans sa chambre, à somnoler devant des piles de bouquins, il n'a même pas cherché à me faire du charme. Je crois qu'il n'est pas si assuré qu'il prétend l'être. Je crois qu'il n'a pas la grande capacité d'adaptation qu'on lui prête. Il sait juste encaisser les coups comme personne. Son grand problème, c'est de ne pas savoir s'arrêter, se poser. Il ne fait que bouger, qu'avancer et ça le perdra. Quand il craque, il tombe au fond du puits, s'enfonce plus loin que tous et est capable de tout et n'importe quoi. Il n'a aucune limite et ne s'en ait jamais posé, c'est bien là que ça cloche. Et c'est ce qui perdra ce grand mélancolique. "
[Enoa H. 17 ans. Voisine de cours.]

" VanOllen ? Ouais trop bizarre comme type, au delà de l'aura malsaine qu'il traine comme un limon matriciel, il semble habité par quelques démons ancestraux... Je dit pas, on est tous des produits issus de notre passé et faut faire et se construire avec mais franchement moi je passe mon chemin. Et c'est même pas à cause des rumeurs qui le concerne, à savoir que c'est un hypocrite sans concession ect. Juste j'ai pas envie de me faire éclabousser par toute la mouise qu'il gamberge au plus profond de lui même."
[Illia G. 18 ans. Âme croisée à plusieurs reprise du coté de la salle commune.]
TICKNESSE EST-IL UN BON CHOIX EN TANT QUE PREMIER MINISTRE? Ҩ Bon mauvais ? Qui est on pour juger ? Tiago savoure les changements brutaux qui destabilisent et font se terrer les rats. Il aime la brume de décrépitude que ce soulèvement fait planer sur la société. Dans ce sens salue t'il l'arrivée de Ticknesse en temps que premier ministre. Pour le reste, ça ne concerne intimement que lui, une autre manière de dire qu'il préfère ne pas s'interroger sur ce que cela éveille d'échos en lui et concernant son statut ambigü, d'avantage lorsque l'on associe cette nouvelle arrivée aux divers changements qui s'opèrent dans le même temps ; il y'a forcément quelqu'un derrière ce pion. ET VOUS-SAVEZ-QUI? Ҩ écrire ici. ROGUE A LA PLACE DE DUMBLEDORE, CELA T'INSPIRE QUOI? Ҩ Tiago a toujours pensé que Rogue n'avait jamais eu l'occasion de faire part de ses talents. Il apprécie les individus qui s'imposent de manière latente, gangrènent un environement pour finir par en devenir le maître. Il pense que ce nouveau directeur a toute les capacités pour catalyser les performances de tout à chacun et saura dénicher les véritables talents... A TON AVIS, QU'EST DEVENU POTTER ? A T-IL FUIT COMME UN LÂCHE OU AU CONTRAIRE TENTE-IL DE VOUS SAUVER DE VOLDEMORT ? Ҩ Il doit se terrer en pensant gagner du temps afin de fomenter quelques plan dans lequel il encourerait le moins de risque possible. Un couard qui ressurgira quand il aura de la barbe et déjà un pied dans la tombe, quand il se dira finalement qu'il n'a plus rien à perdre. SINON A POUDLARD, ÇA SE PASSE COMMENT POUR TOI? Ҩ L'école est un immense terrain de jeu où Tiago peut se gorger jusqu'à la déraison du mal être et de la terreur de certains, il participe même activement à l'entretennir! EN DEHORS DE POUDLARD, C'EST COMMENT? Ҩ // EN QUEL LIEU TE SENS-TU LE PLUS EN SÉCURITÉ? Ҩ Dans son sommeil, lorsqu'il peut être en sa psychée inacessible. Autrement notre tête brûlée ne craint pas de se balader dans les lieux qui craignent le plus, c'est être suicidaire que de forcer le hasard, sûrement, mais encore une fois notre jeune ami ne vit plus que par curiosité n'ayant aucune attache. Et s'il doit crever "autant en avoir vu le plus possible auparavant ; pas de regret!" CROIS-TU LA GAZETTE DU SORCIER? Ҩ Tiago ne croit que ce qu'il constate. SERAIS-TU PRÊT A AIDER UN FUGITIF? Ҩ Qui vivras verra (zbaf). ET POUR FINIR, JUSQU'OÙ IRAIS-TU POUR DÉFENDRE LA CAUSE QUI TE SEMBLE LA PLUS JUSTE? Ҩ Tiago est d'un je m'enfoutiste relativement primaire puisqu'ayant de son point de vue perdu tout ce qui comptait à ses yeux (sa famille, plus particulièrement sa soeur, puisqu'il ne sait pas qu'en vérité elle est encore en vie) et par conséquent il ne défend pas une cause mais ses propres intérêts. Et cet egocentrisme peut vous être bénéfique un jour comme vous mener à la tombe le lendemain. Dans cet esprit Tiago n'a donc aucune limite.

Ҩ non-magical folk »
PSEUDO Ϟ Zec.
PRÉNOM Ϟ Ezéchiel.
ÂGE Ϟ 19 ans.
AVIS SUR LE FORUM Ϟ Tout cela m'inspire et à l'air plutôt accueillant. Puis c'est pas un contexte à la bisounours donc pour le moment ça me plait! :D
AVATAR Ϟ Ash Stymest.
CRÉDITS Ϟ (c)Sde.



I LIKE BEING A WIZARD

    PRELUDE

    Sans concevoir qu’il serait le garant de ma vie morbide, mon père conditionna lui même son exil, effrayé par ce qu’il s’était permis ; une nuit en compagnie de sa cousine. Il était conscient de cela et aveugle devant ce qu'il s'autorisait à lui-même, et dont il n'avait jamais su s'échapper : une rechute dans son enfance. Qu’il aurait voulu durable et sans conséquence. Il n'y a rien que je retiens qui me retiendra vraiment. J'ai perdu mon pari de ne pas être concerné par les choses qui ne me regardent en rien car elles sont l’œuvre d'un passé, vis à vis duquel je n'ai aucune responsabilité.

    Spoiler:

    SONATE

    Réminiscence 1
    Je me suis muré volontairement dans ce qu’ils appellent mon mutisme, pourtant mes hurlements n’ont jamais cessé de me parcourir en tout sens . Avec le temps, je les ai canalisés . J’ai tissé un réseau bien organisé de veines insonorisées et puis patiemment, j’ai créé des dérivations pour les soupirs, les sanglots, et les murmures. Il y a tant à charrier…. l’indicible de cette vie, l’inaudible, l’irracontable, la blanche terreur, la noire désespérance, les tendres supplications des silhouettes mortes et enterrées…Parfois un vaisseau éclate cédant sous la pression de douleurs croupies, de cris coagulés et ça sanguinole noir sur les parois désabusées, décrépies de ma solitude. J’ai du installer et souder quelques tuyaux de diamètre plus important, de façon rudimentaire, certes (parfois les joints ne résistent pas) pour évacuer le plus sordide, le plus dégueulasse vers les égouts à dégoûts : les rêves inachevés, les devenirs à peine ébauchés, les paroles tues, les lambeaux de ma jeunesse crédule et encore vibrante. Tant d’amour et de beauté dont se délecte la vie, que digère le temps, et que chie mon quotidien. Mais c’est le cours de ma vie qui s’écoule là et mon lit est celui de cette rivière souterraine, où j’aime venir chaque jour mourir un peu dans une érection de sens. Mon corps est un taudis, mes chairs sont un cloaque .Et je suis une forteresse. Ils croient que j’erre dans ma vie minée, laminée, comme un fantôme en larmes, mais je suis en béton armé.

    Silloë. Je me souviens de nos matins insouciants qui se collaient à nos sourires comme la crème des tartelettes. Silloë. Ton sourire léger comme une blague. La soudaine, évidente, foudroyante fatalité, le manque d'être, le défaut de ce qui avait été promis. « Suivez moi, les services sociaux vous trouveront une famille prête à vous prendre tous deux en charge. » Silloë. Le cruel défaut infligé, l'inflexion victimaire, mon être infecté de preuves que rien ne pourrait désormais suivre le cours naturel de cette rivière qui asséchée me dévoile. Moi paria, tare qui gagnerait à être muette. Le renoncement et la fatalité gangrène les grumeaux de conscience qui perdurent pour un temps encore à la surface d’une décrépitude qui gagne l’extérieur. Chambre trop soignée pour retenir la mémoire de ses occupants. Condamné au néant, mon passé s’oublie chaque jour sur les murs impersonalisables de l’orphelinat.

    Réminiscence 2
    Le temps libre était rare. Bien vite je pris l’habitude de passer outre le règlement et de profiter de la pause de midi pour m’approprier Dublin. L’orphelinat qui m’avait accueillit parmi d’autres cas potentiellement chaotiques se trouvait excentré, tout pour que la fugue soit moins aisée. Je n’avais jamais été inquiété outre mesure de sévères remontrances, ayant bien vite analysé que plus je me montrerais docile et paisible, plus la sphère éducative montrerait de la déférence à mon égard. On m’avait ainsi après des débuts difficiles, classé dans la catégorie de gosse responsable. Et si je prenais moi même l’initiative de sorties non encadrées, j’avais l’avantage de savoir peindre un air contrit des plus convaincant face à la directrice.

    Dans les rues, je pris mon air halluciné. J'aimais savoir que mes yeux recelaient quelques nuances grisâtres, dégénérées, et regarder les autres, leurs façons de détourner la tête, par pudeur, par crainte. C'est drôle la foule quand on prend un visage étrange, ça se tait devant l'invraisemblance, ça baisse les paupières comme pour ne pas qu'on la contamine, et quelque chose gigote dans les gorges comme des gamins gigotent dans des ventres. Ça pue la haine ravalée, inconsciente, et je sais que beaucoup de marginaux veulent les bouffer ces joues roses, ces gorges satinées, tout cet éclat qui n'est pas le leur. La journée avait été orageuse, et le soleil s’était retiré derrière un linceul nuageux, comme un cafard fuyant le brouillard hostile et sans concession de l’aérosol. . Le ciel flamboie, l’horizon avale une lampée de feu, d’un trait, jusqu’à la lie. Puis, s’insinuant quelques minutes, l’ombre s’impose, intime le renoncement à l’orgueil suprême de l’heure. L’astre résiste autant qu’il le peut, implore, puis finalement crache de dépit sa ferveur, épuisé. A l’orée de la nuit quelque chose d’indéfinissable fuit. L’âme du jour s’incline, tend ses amarres. Un à un les globes des lampadaires éclairent, déversent une clarté diffuse sur les embarcadères ; attirée par la lumière une autre vie grésille, brûle ses ailes. Une nouvelle fois, l’horizon expire, clôt ses paupières et sombre dans sa nuit. Et j’étais là, paisible. J’aurais sûrement pu ne jamais sortir de cette exquise torpeur. M’y enliser plus profondément encore et, qui sait, peut-être effleurer voire embrasser mon idéal de bonheur. Au milieux des relents, les dernières coulées d'acide entre un cadavre de bouteille et un banc immobile. J’étais une drosophyle sur l’instant, déposée au cœur d’une toile imperceptible qui vibre de toute part et attise les sens. Attise le foetus de pouvoirs insoupçonnés.

    Soudain il était là. Hessian, l'oncle craint. Son regard était ténébreux, pénétrant, magnétique. L’atmosphère semblait se matérialiser, affirmant les contours de cet être qui me faisait face, comme pour me prouver que l’imagination était de loin dépassée par cette apparition. Les particules d’oxygène se raréfiaient, le biotope investit devint une enclume, oppressant. Lui paraissait se gargariser de cette consistance étouffante, qui tapissait mes muqueuses nasales et se satisfaisait des gorges comprimées qui déglutissaient en quête d’une réalité intangible. Il séduit, il envoûte, il terrifie. Tout alentour avait fui à sa vue. Sans concevoir que cette apparition émanait directement de mon esprits aux capacités indomptées, je fuyais L'astre lunaire, imperturbable se riait de moi. "Que cherches tu par ici ? Tu erres dans un monde qui n'est pas le tien. Puisse chacun de tes pas t'enfoncer un peu plus dans les profondeurs, que tu rejoignes ton royaume." Je n’avais encore jamais eu peur de la nuit.

    Réminiscence 3
    Trop agé pour être adopté, je devins l'hôte de cette bâtisse où se succédaient les visages. Je décachetais la lettre au sceau d'antan dans le bureau de Sylviana, directrice qui avait finit par force de circonstance, par devenir, à défaut d'une mère, une tutrice ayant gagné mon respect et ma considération. Moldue dans les veines du temps et de l'âge, elle fit en ma compagnie la magique étude d'un monde jusqu'alors soustrait à notre conscience.

    Je quittais donc cet aspect du monde pour la sorcellerie et son apesanteur extraordinaire, mes pieds se détachaient enfin de cet aimant qui vous cloue au sol et que j'appelle confort du cadre. On dit des ruines le plus beau des sacres, celles qui brillent aux mouvements, aux fines foulées de jambes qui claquent l’usure de la vie par envolées de cendres pour plaider l’évasion. C'était trop peu pour décrire Hogwarts. Lorsque le jour se lève, les berges s’inondent de barques échouées, ces frêles esquifs en fer chavirant d’un regard sous la brume du matin. Les murs crachent le jour comme un appel à l’aide puis se repaissent au clair de lune. Les jeunes s’étendent sur leurs balais, valsant aux mélodies du vent et d’autres s’arment de sorts pour faire tomber le ciel. Alors les couloirs en faux culs-de-sac se parent de mystères, plongés dans l’infini, dans les recoins d’un monde. Ici craque l’ennui, c'est l’inattendu et la découverte qui dévorent vos rêves, s’épongent de vos récits puis s’emparent de vos trêves comme une vaine course après la vie.

    Temps présent
    J’ignore mes origines, ignore le sang familial, et pourtant ne regrette rien. C’est entre ces murs que je devins adulte. Sans autre amis que des connaissances domptées par ma rage latente. Il est juste de dire que jusqu’alors, niant ma nature, je pensais le monde imperméable et statique. Bien vite, avec la magique étude des sens que j’acquérais chaque jour un peu plus, j’eus pitié de ceux qui attendaient la mort ou bien l’appréhendaient. Je ne pourrais jamais rien changer à ce qui m’enceint, je ne peux que transfigurer le regard que j’y porte. Tardive résolution, entravée jusqu’alors par l’écœurant carcan de mes puériles, inutiles, stériles considérations bien-pensantes. Les fers de ce que je croyais être l’empreinte divine de la conscience du Bien cèdent à mes chevilles écorchées d’avoir trop tirées. Je ferai miens péchés et malversations et ainsi ne craindrai plus ni les cruels ni les bons. Que soit castré l’amant trop léger, immolé le presque beau bafoué, transcendés les paradoxes de l’intelligence scrupuleuse, altruiste, cadenassante. Je divorce de ma culpabilité chérie et de mes angoisses parricides.
    Ma tristesse se fera colère, mes doutes convictions commodes et mon pardon vengeance. Ainsi affranchi et résistant, l’échine redressée, j’évoluerai dans cet univers divulgué, facile, mauvais, foulant de mon talon effilé les décombres de mes antiques chimères avortées.




Dernière édition par Tiago VanOllen le Mer 21 Sep - 10:30, édité 12 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t128-tiago-vanollen-je-n-aime-pas-l-homme-j-aime-ce-qui-le-devore
Suldrùn-Eden A. Carlton
Ϟ Suldrùn-Eden A. Carlton

oh angie, ain't it good to be alive?
▪ vous êtes : élève résistant.
▪ parchemins : 513
▪ pseudo : june
▪ célébrité : emma watson
▪ crédits : morrigan
▪ patronus : chevreuil
▪ baguette : chêne, 33,4 centimètres et plume d'hypogriffe
▪ année/métier : septième

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyDim 18 Sep - 16:14

Bienvenue sur CA! Ash Stymest est un bon choix émerveillé
Revenir en haut Aller en bas
http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t16-letempsdetrouveruntitre http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t45-suldrun-all-the-dreams-we-held-so-close-seem-to-all-go-up-in-smoke http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t62-suldrun-titre#627
Tiago VanOllen
Ϟ Tiago VanOllen

NEW COMER the game starts.
▪ vous êtes : élève.
▪ parchemins : 41
▪ pseudo : Zec
▪ célébrité : Ash Stymest
▪ crédits : (c) Sde
▪ citation : C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. Les détails sont toujours vulgaires...Il existe des péchés dont le souvenir, plus que l'accomplissement, fait le charme ; d'étranges triomphes qui flattent l'orgueil plus encore que la passion...
▪ patronus : Un singe Capucin
▪ baguette : Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm
▪ année/métier : 7e année

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyDim 18 Sep - 21:16

Merci, je n'imaginais pas quelqu'un d'autre qu'Ash... C'était un choix quelque peu orienté Zbaf Et je ne puis qu'être conforté dans celui ci à la vue des gentes demoiselles qui craquent pour lui...
Rolling Eyes rezbaf

EDIT Terminé
Revenir en haut Aller en bas
http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t128-tiago-vanollen-je-n-aime-pas-l-homme-j-aime-ce-qui-le-devore
Keyran-Oz C. Starks
Ϟ Keyran-Oz C. Starks

Ϟ for not all tears are an evil.
▪ vous êtes : élève.
▪ parchemins : 482
▪ pseudo : Starks
▪ célébrité : Logan Lerman
▪ crédits : starks&tumblr
▪ citation : ‘La mort n’est qu’un autre chemin qu’il nous faut tous prendre. Le rideau de pluie grisâtre de ce monde s’ouvrira et tout sera brillant comme l’argent. Alors vous les verrez. […] Les rivages blancs. Et au-delà, la lointaine contrée verdoyante, sous un fugace levé de soleil.’
▪ patronus : lynx
▪ baguette : dragon - if - 28 cm.
▪ année/métier : 7ème année.

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyLun 19 Sep - 8:55

Bienvenue. :D J'vais lire ça (a) :)
Revenir en haut Aller en bas
http://uc.com http://uc.com http://uc.com
Shiloh Lamcater-Bennet
Ϟ Shiloh Lamcater-Bennet

SHILOH i am a lie.
▪ vous êtes : autre.
▪ parchemins : 231
▪ pseudo : libreligne.
▪ célébrité : olivia wilde.
▪ crédits : (c) Gingercat.
▪ patronus : un ours.
▪ baguette : dragon - érable - trente deux centimètres.
▪ année/métier : emploi chez Barjow&Beurk.

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyLun 19 Sep - 17:08

WELCOME I love you T'es un rapide toi :D
Revenir en haut Aller en bas
Tiago VanOllen
Ϟ Tiago VanOllen

NEW COMER the game starts.
▪ vous êtes : élève.
▪ parchemins : 41
▪ pseudo : Zec
▪ célébrité : Ash Stymest
▪ crédits : (c) Sde
▪ citation : C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. Les détails sont toujours vulgaires...Il existe des péchés dont le souvenir, plus que l'accomplissement, fait le charme ; d'étranges triomphes qui flattent l'orgueil plus encore que la passion...
▪ patronus : Un singe Capucin
▪ baguette : Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm
▪ année/métier : 7e année

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyLun 19 Sep - 18:18

J'avais le forum dans un coin de la mémoire depuis une bonne semaine, et j'aime poster ma fiche une fois qu'elle est terminée ; je suis moins préssé qu'il n'y parait.
Revenir en haut Aller en bas
http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t128-tiago-vanollen-je-n-aime-pas-l-homme-j-aime-ce-qui-le-devore
Tiago VanOllen
Ϟ Tiago VanOllen

NEW COMER the game starts.
▪ vous êtes : élève.
▪ parchemins : 41
▪ pseudo : Zec
▪ célébrité : Ash Stymest
▪ crédits : (c) Sde
▪ citation : C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. Les détails sont toujours vulgaires...Il existe des péchés dont le souvenir, plus que l'accomplissement, fait le charme ; d'étranges triomphes qui flattent l'orgueil plus encore que la passion...
▪ patronus : Un singe Capucin
▪ baguette : Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm
▪ année/métier : 7e année

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyMar 20 Sep - 22:46

hmm uhm y'a quelqu'un ?
Revenir en haut Aller en bas
http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t128-tiago-vanollen-je-n-aime-pas-l-homme-j-aime-ce-qui-le-devore
Shiloh Lamcater-Bennet
Ϟ Shiloh Lamcater-Bennet

SHILOH i am a lie.
▪ vous êtes : autre.
▪ parchemins : 231
▪ pseudo : libreligne.
▪ célébrité : olivia wilde.
▪ crédits : (c) Gingercat.
▪ patronus : un ours.
▪ baguette : dragon - érable - trente deux centimètres.
▪ année/métier : emploi chez Barjow&Beurk.

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyMer 21 Sep - 8:14

Désolé de l'attente, mais Keyran n'est pas trop présent. Je vais donc m'occuper de ta fiche, pour que tu sois réparti au plus vite :)
Revenir en haut Aller en bas
Shiloh Lamcater-Bennet
Ϟ Shiloh Lamcater-Bennet

SHILOH i am a lie.
▪ vous êtes : autre.
▪ parchemins : 231
▪ pseudo : libreligne.
▪ célébrité : olivia wilde.
▪ crédits : (c) Gingercat.
▪ patronus : un ours.
▪ baguette : dragon - érable - trente deux centimètres.
▪ année/métier : emploi chez Barjow&Beurk.

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyMer 21 Sep - 10:26

Il y a juste quelque chose qui me titille en fait >.< Dans ton profil, il y a marqué "huitième année"... Est-ce une faute de frappe, ou bien ? Parce qu'il me semble que même sous Rogue, il n'y a que sept années à Poudlard ange
Revenir en haut Aller en bas
Tiago VanOllen
Ϟ Tiago VanOllen

NEW COMER the game starts.
▪ vous êtes : élève.
▪ parchemins : 41
▪ pseudo : Zec
▪ célébrité : Ash Stymest
▪ crédits : (c) Sde
▪ citation : C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. Les détails sont toujours vulgaires...Il existe des péchés dont le souvenir, plus que l'accomplissement, fait le charme ; d'étranges triomphes qui flattent l'orgueil plus encore que la passion...
▪ patronus : Un singe Capucin
▪ baguette : Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm
▪ année/métier : 7e année

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyMer 21 Sep - 10:32

Merci beaucoup te t'occuper de mon cas, j'imagine qu'on est tous un peu occupé irl avec ce premier mois de rentrée, je suis désolé si je me montre quelque peu opressant un, mais j'ai juste qu'une hate c'est celle de rp! Nop c'est pas normal, ptite erreur d'interprétation modifiée!
Revenir en haut Aller en bas
http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t128-tiago-vanollen-je-n-aime-pas-l-homme-j-aime-ce-qui-le-devore
Shiloh Lamcater-Bennet
Ϟ Shiloh Lamcater-Bennet

SHILOH i am a lie.
▪ vous êtes : autre.
▪ parchemins : 231
▪ pseudo : libreligne.
▪ célébrité : olivia wilde.
▪ crédits : (c) Gingercat.
▪ patronus : un ours.
▪ baguette : dragon - érable - trente deux centimètres.
▪ année/métier : emploi chez Barjow&Beurk.

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyMer 21 Sep - 10:50

Non, tu n'es pas oppressant, c'est de membre motivées dont nous avons besoin smile Enfin bon, je vais terminer de lire tout ça :)
Revenir en haut Aller en bas
Faust
Ϟ Faust

VERI VENIVERSUM VIVUS VICI Ϟ
▪ parchemins : 106
▪ pseudo : fate
▪ célébrité : Méphistophélès (aa)
▪ crédits : starks*
▪ année/métier : spectateur du monde.

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyMer 21 Sep - 10:53



WELCOME HOME !



Bienvenue sur Courtyard Apocalypse, toi ! Tout le staff, ainsi que les membres, t'accueillent avec le plus grand plaisir et te souhaitent de te sentir ici chez toi I love you. Avant que tu ne commences à défaire tes valises, voici les informations que tu te dois de connaître, à l'instar des sujets qu'il est bon de consulter pour débuter sur le forum.

Ϟ tu ne voudrais pas voir quelqu'un s’inscrire avec le même avatar que toi, tout de même ? Bien sûr que non. Pour éviter ce genre de situation, il est obligatoire de venir faire recenser ton avatar ici.
Ϟ expecto patronum ! alors, quel animal vient de surgir de ta baguette ? Pour nous en informer et le recenser, rendez-vous dans les demandes de patronus.
Ϟ il serait triste de ne pas te lier avec les autres personnages, n'est-ce pas ? Viens donc créer ta fiche de liens et ton répertoire de rps, sans hésiter bien sûr à passer sur ceux des autres !
Ϟ assure-toi que tu as bien lu les sujets importants, les annexes ainsi que l'intrigue en cours, afin de pouvoir écrire dans le cadre approprié, dans les meilleures conditions.
Ϟ n'oublie pas de remplir tous les champs de ton profil pour que tout le monde en sache le plus possible sur ton personnage du premier coup d’œil (voir le règlement pour plus de précisions).

Voilà, à présent tu peux t'installer comme bon te semble, participer aux activités que tu trouveras sur le forum et faire un tour dans le flood. Si tu as la moindre question, le staff se feront une joie d'y répondre, que ce soit ici ou par mp.

Excellent jeu sur Courtyard Apocalypse ! mignon


Revenir en haut Aller en bas
Tiago VanOllen
Ϟ Tiago VanOllen

NEW COMER the game starts.
▪ vous êtes : élève.
▪ parchemins : 41
▪ pseudo : Zec
▪ célébrité : Ash Stymest
▪ crédits : (c) Sde
▪ citation : C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. Les détails sont toujours vulgaires...Il existe des péchés dont le souvenir, plus que l'accomplissement, fait le charme ; d'étranges triomphes qui flattent l'orgueil plus encore que la passion...
▪ patronus : Un singe Capucin
▪ baguette : Dent de Strangulot Bois de Sureau 22.3 cm
▪ année/métier : 7e année

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. EmptyMer 21 Sep - 12:06

craccracboom
Yehahaha je vais me faire un devoir de remplir le statut de "membre motivé" et je ne vais pas tarder à vous honorer de ma présence en chaque lieu de ce forum zbaf -->
Revenir en haut Aller en bas
http://courtyardapocalypse.forumgratuit.fr/t128-tiago-vanollen-je-n-aime-pas-l-homme-j-aime-ce-qui-le-devore

Ϟ Contenu sponsorisé


Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty
MessageSujet: Re: Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.   Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Tiago VanOllen | Je n'aime pas l'homme, j'aime ce qui le dévore.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
i n d e x :: WELCOME IN YOUR WORLD ♦ « you can enter in this magical place. » :: the story continues :: the golden egg-